COMMENT PRODUIRE SUFFISAMENT DE NOURRITURE TOUT EN MAINTENANT UNE BONNE QUALITÉ ?

[Swane L S2]

COMMENT PRODUIRE SUFFISAMENT DE NOURRITURE TOUT EN MAINTENANT UNE BONNE QUALITÉ ? 

Par Swane et Nolwenn S2

   

   Jusqu’à aujourd’hui, plus d’1 milliard de personnes sont sous-alimentées. Ce nombre a augmenté de 150 millions en 2006 et augmente toujours. 

Une des causes principales est le manque de production d’aliments et une répartition inégale des ressources en nourriture. Pour augmenter la production d’aliments, une des principales solutions est l’agriculture intensive qui, de nos jours, permet de produire plus avec des prix abordables. En revanche, beaucoup de personnes souffrent de maladies en relation avec l’alimentation car l’agriculture intensive utilise trop de produits toxiques pour la santé.

Existe-il d’autres alternatives pour produire suffisamment de nourriture de qualité?

1. Comparaison de l’agriculture biologique avec agriculture classique.  

·     Tout d’abord, définissons l’agriculture classique ou intensive. C’est une agriculture utilisant des pesticides, pour la résistance des plantes, et des engrais, pour avoir un sol plus riche et fertile.

·     L’agriculture biologique est une agriculture n’utilisant ni pesticides (produits chimiques contre les mauvaises herbes, insectes, champignons,), ni engrais (pour faire pousser les plantes plus vite).

·     Elle commence à être utilisée, en 1981, sur le maïs et le soya. Celle-ci représente presque la moitié des terres cultivées aux États-Unis, soit 49%.

·     Dans les dernières années, plusieurs recherches sur l’agriculture biologique ont commencé et comparent biologique à normale. L’Institut Rodale est «un organisme américain à but non lucratif qui soutient la recherche en agriculture biologique, fondé en 1947, en Pennsylvanie», d’après Wikipédia. C’est une des institutions qui s’intéresse à cette nouvelle forme d’agriculture. 

·     Ils se sont rendus compte que les rendements de l’agriculture biologique sont la même que les rendements de l’agriculture chimique (conventionnelle).

·     L’agriculture normale est plus néfaste à l’environnent car elle produit 40% de plus de gaz à effet de serre. Presque 50% de plus que l’agriculture normale!! 

·     L’agriculture biologique va aider dans l’organisation des déchets avec le composte, par exemple.

 
 
Graphique montrant la différence entre l’agriculture biologique et classique 
 
 
 
2. Alternative(s) pour avoir une bonne qualité tout en ayant une quantité suffisante pour nourrir la planète. 

·     Des Nouvelles idées sont proposées par une équipe internationale de chercheurs provenant des quatre coins du monde. De nouveaux modèles agricoles ont été créés grâce à des rapports, des statistiques scientifiques et des images satellites. Elles permettant de doubler la production alimentaire mondiale tout en réduisant les impacts environnementaux de l’agriculture. Un professeur de l’université McGill,Navin Ramankutty explique que«en nous attaquant à l’ensemble des facettes du problème, nous avons fait émerger […]des solutions concrètes ». 

·      Ils ont mis en place un plan de quatre points pour nourrir la population mourante de faim:

-1 :

Améliorer les rendements agricoles : choisir meilleure variétés de culture ,résistante et adaptées à l’écosystème du pays et former les paysans avec des meilleures gestions et avec équipements plus performants (augmentation 60%).  Vidéo d’un exemple d’amélioration de rendements agricoles : 

https://www.youtube.com/watch?v=u0NSZULndbI

-2 :

Optimiser l’eau, les nutriments et produits chimiques : d’un côté trop et de l'autre pas assez. Prenons l’exemple de cette carte ci-dessous :

-3 :

Privilégier les humains que le bétail ou des agro carburants. Les pâturages utilisent 3,38 milliards d’hectares alors que les cultures :1,53 milliards, 60% des céréales produites dans le monde sont consommées par les animaux.Tout ça impliquerait de réduire considérablement notre consommation de viande.

-4 :

Réduire le gaspillage : 30 60% de la nourriture produite est jetée, décomposée ou mangée par les parasites. Éliminer les pertes entre la ferme à l’assiette permettrait d’augmenter en moyenne de 50% la nourriture disponible à la consommation sans pour autant augmenter les surfaces agricoles.

 
 

·     Comme exemple on peut prendre un nombre incalculable d’aliments transformés contiennent des traces de glyphosate, c’est-à-dire l’ingrédient principal du désherbant Roundup. C’est ce que confirme récemment l’une des nombreuses recherches sur ça, celle du CALPIRG EducationFund, qui parvient aux mêmes résultats : pratiquement tout ce que nous mangeons ou ce que nous buvons contient des traces de ce pesticide. 

·     L’Argument de Monsanto est très valable comme autre exemple ( très vieux fabriquant de pesticides ) est qu’il n’existe rien d’autre comme alternative  permettant de garantir une sécurité alimentaire  importante pour nourrir les habitants de la planète. MAIS la faim et la malnutrition ne sont pas un problème de quantié sachant que dans certains pays développés il y a trop de nourriture!!!! Ce qui montre un mal fonctionnement de la distribution de nourriture dans le monde. 

 
 

Carte de la faim dans le monde : 

 
 
 

En conclusion, aujourd’hui nous avons les moyens de produire de la nourriture en quantité tout en préservant la qualité des aliments et encore plus important notre santé. 

- Swane et Nolwenn - 

 

Webographie :

·      https://www.slowfood.com/fr/nourrir-la-planete-sans-pesticides-cest-possible/

·      http://ecologie.blog.lemonde.fr/2011/10/14/comment-nourrir-9-milliards-detres-humains-sans-detruire-la-planete/

·      http://storage.journaldemontreal.com/v1/wcep-prod/blog-photos/blogs-prod-photos/4/3/f/6/5/43f65f60672edddd9e925df488274b95.jpg?stmp=1361407634

·      https://documents.wfp.org/stellent/groups/public/documents/communications/wfp275077.pdf?_ga=2.107988546.1308543952.1557174395-15106606.1557174395

·      http://www.fao.org/3/i0224f/i0224f02.pdf

[Anya1S]

Bonjour, j'ai une question par rapport à votre article. Vous parlez en début d'article du fait que la mal-nutrition dans le monde est fortement liée à la sous-production d'aliments en agriculture. Êtes-vous sûres que ce problème n'est pas plutôt lié au milieu de vie? Par exemple, si nous commençons à produire plus en Amérique du Nord, comment est-ce que cela va changer le fait qu'il y a un grand nombre de terres infertiles en Afrique qui ne peuvent pas être exploitées?

[Jeanne S1]

Bonjour Swane et Nolwenn,

J'ai beaucoup aimé votre article qui est concis mais aussi très clair. Je trouve en effet que l'agriculture biologique est la meilleure pour notre planète. Ne pensez vous cependant pas que celle-ci impose quand même une perte de produits conséquente et que donc les prix resteront trop élevés pour une partie de la population (car le prix des aliments biologiques est bien le frein majeurs pour les consommateurs)? Vous parlez en effet du même rendement entre les deux agricultures mais comment expliquez vous alors les prix élevés du Bio?
Je pense aussi qu'un autre problème serait le visuel des aliments. les personnes sont habituées à manger des aliments parfaits et refusent de manger des fruit un peu abîmés, des confitures moisies sur le dessus etc... Il faudrait donc lancer un processus d'éducation en parallèle selon moi.

Merci d'avance pour votre réponse!

Jeanne S1

[GhiaS1]

Bonjour Swane et Nolwenn,

J'ai beaucoup aimé votre article qui est concis mais aussi très clair. Je trouve en effet que l'agriculture biologique est la meilleure pour notre planète. Ne pensez vous cependant pas que celle-ci impose quand même une perte de produits conséquente et que donc les prix resteront trop élevés pour une partie de la population (car le prix des aliments biologiques est bien le frein majeurs pour les consommateurs)? Vous parlez en effet du même rendement entre les deux agricultures mais comment expliquez vous alors les prix élevés du Bio?
Je pense aussi qu'un autre problème serait le visuel des aliments. les personnes sont habituées à manger des aliments parfaits et refusent de manger des fruit un peu abîmés, des confitures moisies sur le dessus etc... Il faudrait donc lancer un processus d'éducation en parallèle selon moi.

Merci d'avance pour votre réponse!

Jeanne S1

Bonjour,
Je suis d'accord avec Jeanne. Je ne comprend pas comment le rendement de ce type d'agriculture peut être le même que l'agriculture conventionnel si les plantes poussent moins rapidement (dû à l'absence d'engrais) et plusieurs plantes sont perdues (dû au ravage des insectes). Il y a donc nécessairement un rendement quantitatif de l'agriculture biologique qui est plus faible. En effet, d'après Le Devoir, l'agriculture biologique produit des récoltes de céréales 26% moins abondantes et des récoltes de légumes 33% moins abondantes que les récoltes avec la méthode traditionnelle.
De plus, à cause de ce rendement plus faible, il faudrait plus de terres pour une même production agricole. Sachant que la population est de plus en plus grande, il faudra déforester encore plus de zones et détruisent plus de la biodiversité. On pourrait donc dire que l'agriculture biologique n'est pas vraiment une solution puisque celle-ci va empirer la situation.
Vous-en pensez quoi?

[Jeanne S1]

Bonjour,
Je suis d'accord avec Jeanne. Je ne comprend pas comment le rendement de ce type d'agriculture peut être le même que l'agriculture conventionnel si les plantes poussent moins rapidement (dû à l'absence d'engrais) et plusieurs plantes sont perdues (dû au ravage des insectes). Il y a donc nécessairement un rendement quantitatif de l'agriculture biologique qui est plus faible. En effet, d'après Le Devoir, l'agriculture biologique produit des récoltes de céréales 26% moins abondantes et des récoltes de légumes 33% moins abondantes que les récoltes avec la méthode traditionnelle.
De plus, à cause de ce rendement plus faible, il faudrait plus de terres pour une même production agricole. Sachant que la population est de plus en plus grande, il faudra déforester encore plus de zones et détruisent plus de la biodiversité. On pourrait donc dire que l'agriculture biologique n'est pas vraiment une solution puisque celle-ci va empirer la situation.
Vous-en pensez quoi?

Bonjour Ghia,

Bien que je pense effectivement que le rendement de l'agriculture biologique est inférieur à celui de l'agriculture conventionnelle, je ne pense absolument pas qu'elle ne serait pas une solution, ni qu'elle empirera la situation.

Oui, l'agriculture biologique inclus des pertes, mais elle va de pair avec agriculture locale. Or, si l'agriculture est locale il y a moins d'importations/exportations (donc moins de pollution) et elle vise surtout une plus petite population. En effet, il n'y aurait plus d'énormes champs à agricultures conventionnelle qui produit pour le monde entier et qui, eux, sont responsables d'une grande déforestation.

Un autre point, l'agriculture conventionnelle tue, notamment par ses pesticides, la flore environnante et, à force d'agriculture intensive, rend les sols inexploitables et stériles. Il y a donc une perte de terres. À l'opposé, l'agriculture biologique favorise le sol, le rend encore plus fertile, et avec le temps, le rendement en est même augmenté. Ainsi, l'agriculture biologique est de ce point de vue bien plus favorable à l'environnement. Et même si on en venait à devoir couper un peu plus d'arbres, elles, au moins ne détruirait pas les sols qu'elle nécessite.

J'espère avoir pu apporté des explications : )

Jeanne

[Swane L S2]

Bonjour, j'ai une question par rapport à votre article. Vous parlez en début d'article du fait que la mal-nutrition dans le monde est fortement liée  à la sous-production d'aliments en agriculture. Êtes-vous sûres que ce problème n'est pas plutôt lié au milieu de vie? Par exemple, si nous commençons à produire plus en Amérique du Nord, comment est-ce que cela va changer le fait qu'il y a un grand nombre de terres infertiles en Afrique qui ne peuvent pas être exploitées?

Bonjour Anya,
En effet en début de notre article nous parlons de la mal nutrition mais un peu plus loins vers la carte n.2  nous parlons de former les agriculteurs pour qu'ils puissent produire de la nourriture dans different coins du globe .Peut être n'avez vous pas vu la vidéo concernant certains agriculteurs qui se forment pour avoir des meilleurs rendements dans les différents endroits et météo. Une chose est sure c'est que malheureusement en Afrique les terres sont fertiles mais manque pluie elles ne peuvent être utiliser.
Merci pour votre message 
Swane 1S2

[Swane L S2]

Bonjour Swane et Nolwenn,

J'ai beaucoup aimé votre article qui est concis mais aussi très clair. Je trouve en effet que l'agriculture biologique est la meilleure pour notre planète. Ne pensez vous cependant pas que celle-ci impose quand même une perte de produits conséquente et que donc les prix resteront trop élevés pour une partie de la population (car le prix des aliments biologiques est bien le frein majeurs pour les consommateurs)? Vous parlez en effet du même rendement entre les deux agricultures mais comment expliquez vous alors les prix élevés du Bio?
Je pense aussi qu'un autre problème serait le visuel des aliments. les personnes sont habituées à manger des aliments parfaits et refusent de manger des fruit un peu abîmés, des confitures moisies sur le dessus etc... Il faudrait donc lancer un processus d'éducation en parallèle selon moi.

Merci d'avance pour votre réponse!

Jeanne S1

Bonjour Jeanne,
Merci beaucoup pour les compliments pour notre article !!
Nous sommes d'accord sur quelque chose: le visuel, le processus d'éducation serait génial pour montrer aux gens!
Malheureusement les prix élevés du Bio sont dus aux coûts que l'agriculteur a pour élever ces poules ou faire pousser sont maīs ... Donc forcément il doit faire monter ces prix et puis beaucoup de personne préfère acheter ce qui n'est pas bio car le coût est moins élevé donc si plus de personne achetait dans le bio les prix seraient plus bas !
Swane 1S2

[Swane L S2]

Bonjour,
Je suis d'accord avec Jeanne. Je ne comprend pas comment le rendement de ce type d'agriculture peut être le même que l'agriculture conventionnel si les plantes poussent moins rapidement (dû à l'absence d'engrais) et plusieurs plantes sont perdues (dû au ravage des insectes). Il y a donc nécessairement un rendement quantitatif de l'agriculture biologique qui est plus faible. En effet, d'après Le Devoir, l'agriculture biologique produit des récoltes de céréales 26% moins abondantes et des récoltes de légumes 33% moins abondantes que les récoltes avec la méthode traditionnelle.
De plus, à cause de ce rendement plus faible, il faudrait plus de terres pour une même production agricole. Sachant que la population est de plus en plus grande, il faudra déforester encore plus de zones et détruisent plus de la biodiversité. On pourrait donc dire que l'agriculture biologique n'est pas vraiment une solution puisque celle-ci va empirer la situation.
Vous-en pensez quoi?

Bonjour Ghia,

Bien que je pense effectivement que le rendement de l'agriculture biologique est inférieur à celui de l'agriculture conventionnelle, je ne pense absolument pas qu'elle ne serait pas une solution, ni qu'elle empirera la situation.

Oui, l'agriculture biologique inclus des pertes, mais elle va de pair avec agriculture locale. Or, si l'agriculture est locale il y a moins d'importations/exportations (donc moins de pollution) et elle vise surtout une plus petite population. En effet, il n'y aurait plus d'énormes champs à agricultures conventionnelle qui produit pour le monde entier et qui, eux, sont responsables d'une grande déforestation.

Un autre point, l'agriculture conventionnelle tue, notamment par ses pesticides, la flore environnante et, à force d'agriculture intensive, rend les sols inexploitables et stériles. Il y a donc une perte de terres. À l'opposé, l'agriculture biologique favorise le sol, le rend encore plus fertile, et avec le temps, le rendement en est même augmenté. Ainsi, l'agriculture biologique est de ce point de vue bien plus favorable à l'environnement. Et même si on en venait à devoir couper un peu plus d'arbres, elles, au moins ne détruirait pas les sols qu'elle nécessite.

J'espère avoir pu apporté des explications : )

Jeanne

Bonjour les filles,
Je suis très contente que notre article fasse débat !!
Je pense laisser Nolwenn répondre à ceci!
Merci !!
Swane 1S2

[Nolwenn B S2]

Bonjour Swane et Nolwenn,

J'ai beaucoup aimé votre article qui est concis mais aussi très clair. Je trouve en effet que l'agriculture biologique est la meilleure pour notre planète. Ne pensez vous cependant pas que celle-ci impose quand même une perte de produits conséquente et que donc les prix resteront trop élevés pour une partie de la population (car le prix des aliments biologiques est bien le frein majeurs pour les consommateurs)? Vous parlez en effet du même rendement entre les deux agricultures mais comment expliquez vous alors les prix élevés du Bio?
Je pense aussi qu'un autre problème serait le visuel des aliments. les personnes sont habituées à manger des aliments parfaits et refusent de manger des fruit un peu abîmés, des confitures moisies sur le dessus etc... Il faudrait donc lancer un processus d'éducation en parallèle selon moi.

Merci d'avance pour votre réponse!

Jeanne S1

Bonjour,
Je suis d'accord avec Jeanne. Je ne comprend pas comment le rendement de ce type d'agriculture peut être le même que l'agriculture conventionnel si les plantes poussent moins rapidement (dû à l'absence d'engrais) et plusieurs plantes sont perdues (dû au ravage des insectes). Il y a donc nécessairement un rendement quantitatif de l'agriculture biologique qui est plus faible. En effet, d'après Le Devoir, l'agriculture biologique produit des récoltes de céréales 26% moins abondantes et des récoltes de légumes 33% moins abondantes que les récoltes avec la méthode traditionnelle.
De plus, à cause de ce rendement plus faible, il faudrait plus de terres pour une même production agricole. Sachant que la population est de plus en plus grande, il faudra déforester encore plus de zones et détruisent plus de la biodiversité. On pourrait donc dire que l'agriculture biologique n'est pas vraiment une solution puisque celle-ci va empirer la situation.
Vous-en pensez quoi?

Bonjour Ghia,
En effet, au sujet du rendement, pendant de longues années, l’écart entre la culture biologique et conventionnelle était présent. Toutefois, les avancées technologiques ainsi que les nouvelles techniques d’agriculture biologique tendent à réduire cet écart de rendement. De plus, il faut être vigilant lorsque l’on parle d’écart de rendement et bien préciser d’en quel produit il s’agit. En fait, pour les céréales ou l’orticulture, il n’y a aucun écart en tren le biologique et le conventionnel.
Ensuite, concernant la déforestation, ce n’est pas l’air culture biologique qui en est responsable. Au contraire, de nombreux organismes sensibles à l’état de la planette donc aussi à l’agriculture biologique ont décider de soulager la pression mise sur les forêts et cultivent des produits biologiques en périphérie de celles-ci. Par exemple, la production de cacao biologique en Côte-d’Ivoire, ils le plantent aux périphéries des forêts.
Merci pour ton commentaire,
Nolwenn S2

[Anya1S]

Bonjour, j'ai une question par rapport à votre article. Vous parlez en début d'article du fait que la mal-nutrition dans le monde est fortement liée  à la sous-production d'aliments en agriculture. Êtes-vous sûres que ce problème n'est pas plutôt lié au milieu de vie? Par exemple, si nous commençons à produire plus en Amérique du Nord, comment est-ce que cela va changer le fait qu'il y a un grand nombre de terres infertiles en Afrique qui ne peuvent pas être exploitées?

Bonjour Anya,
En effet en début de notre article nous parlons de la mal nutrition mais un peu plus loins vers la carte n.2  nous parlons de former les agriculteurs pour qu'ils puissent produire de la nourriture dans different coins du globe .Peut être n'avez vous pas vu la vidéo concernant certains agriculteurs qui se forment pour avoir des meilleurs rendements dans les différents endroits et météo. Une chose est sure c'est que malheureusement en Afrique les terres sont fertiles mais manque pluie elles ne peuvent être utiliser.
Merci pour votre message 
Swane 1S2

Bonjour, merci de votre réponse, en effet je n'avais pas vu la vidéo que vous aviez mis en attachement.
Je me demande cependant pourquoi il est toujours nécessaire de produire plus dans des pays développés. Ne pensez-vous pas que cela peut promouvoir l'obésité?
Anya Petrof

[Yacine Benaoudia 1ere S2]

Bonjour,
Je m'interroge au sujet de la mal-nutrition car vous l’évoquez dans votre article, ne pensez vous que la mal nutrition est liée à une mauvaise exploitation des ressources naturelles ou à des facteurs externes car si on se penche sur le sujet on retrouve de nombreuses informations concernant des pays en mal-nutrition. Les principales causes étant les guerres, les famines, les catastrophes naturelles...
Même les pays les plus arides arrivent à produire assez pour nourrir, ce site exploite d'ailleurs très bien le sujet et démontre que même si les terres sont peu propices à l'agriculture il est largement faisable de nourrir une population.

[Swane L S2]

Bonjour,
Je m'interroge au sujet de la mal-nutrition car vous l’évoquez dans votre article, ne pensez vous que la mal nutrition est liée à une mauvaise exploitation des ressources naturelles ou à des facteurs externes car si on se penche sur le sujet on retrouve de nombreuses informations concernant des pays en mal-nutrition. Les principales causes étant les guerres, les famines, les catastrophes naturelles...
Même les pays les plus arides arrivent à produire assez pour nourrir, ce site exploite d'ailleurs très bien le sujet et démontre que même si les terres sont peu propices à l'agriculture il est largement faisable de nourrir une population.

Bonjour Yacine,
Vous avez tout à fait raison au sujet des facteurs externes puisque comme vous l'avez dit dans certains pays il y a énormément de guerres, ou de changement climatique. Mais malheureusement certaines personnes ont du mal à gérer leurs ressources naturelles et c'est pour cela que certains agriculteurs sont formés pour pouvoir mieux les gérer . Or malheureusement on peut se poser la question aussi avec l'exemple du pétrole (même si le sujet est différent) nous l'avons tellement exploité qu'il ne va bientôt plus en avoir donc il faudrait jauger entre ne pas savoir utiliser ces ressources ou trop les utiliser.
J'espère avoir répondu à vos attentes 
Merci pour ce commentaire 
Swane 1S2

[Nolwenn B S2]

Bonjour, j'ai une question par rapport à votre article. Vous parlez en début d'article du fait que la mal-nutrition dans le monde est fortement liée  à la sous-production d'aliments en agriculture. Êtes-vous sûres que ce problème n'est pas plutôt lié au milieu de vie? Par exemple, si nous commençons à produire plus en Amérique du Nord, comment est-ce que cela va changer le fait qu'il y a un grand nombre de terres infertiles en Afrique qui ne peuvent pas être exploitées?

Bonjour Anya,
En effet en début de notre article nous parlons de la mal nutrition mais un peu plus loins vers la carte n.2  nous parlons de former les agriculteurs pour qu'ils puissent produire de la nourriture dans different coins du globe .Peut être n'avez vous pas vu la vidéo concernant certains agriculteurs qui se forment pour avoir des meilleurs rendements dans les différents endroits et météo. Une chose est sure c'est que malheureusement en Afrique les terres sont fertiles mais manque pluie elles ne peuvent être utiliser.
Merci pour votre message 
Swane 1S2

Bonjour, merci de votre réponse, en effet je n'avais pas vu la vidéo que vous aviez mis en attachement.
Je me demande cependant pourquoi il est toujours nécessaire de produire plus dans des pays développés. Ne pensez-vous pas que cela peut promouvoir l'obésité?
Anya Petrof

Bonjour Anya,
Tout d'abord, il ne faut pas confondre la mal bouffe et la malnutrition. Dans notre texte, nous parlons de malnutrition ce qui désigne l’état de quelqu’un lorsqu’il est en déficience d’un type d’aliment. C’est surtout présent dans les pays d’Afrique.
Ensuite, pour répondre à ta question sur l’obésité, je suis d’accord que produire plus dans les pays développés font que ces pays ont plus de nourriture, donc plus de consommateurs. Cependant, lorsque nous parlons de produire en plus grande quantité pour une meilleure qualité comme dans notre article, nous parlons principalement d’aliments comme les fruits, les légumes et même les céréales. Ceux-ci ne causent pas directement de l’obésité.
Merci de ta réponse,
Nolwenn B S2

[Jeanne S1]

Bonjour Jeanne,
Merci beaucoup pour les compliments pour notre article !!
Nous sommes d'accord sur quelque chose: le visuel, le processus d'éducation serait génial pour montrer aux gens!
Malheureusement les prix élevés du Bio sont dus aux coûts que l'agriculteur a pour élever ces poules ou faire pousser sont maīs ... Donc forcément il doit faire monter ces prix et puis beaucoup de personne préfère acheter ce qui n'est pas bio car le coût est moins élevé donc si plus de personne achetait dans le bio les prix seraient plus bas !
Swane 1S2

Bonjour Swane,

Merci beaucoup pour ta réponse. Je me demandais: ne penses tu pas aussi que le prix élevé du bio est du au fait que le bio fait partie d'une tendance «bobo» actuellement? Plusieurs marchés biologiques sont réputés pour regrouper une catégorie de gens aisés, d'un même fond culturel. Dans les esprits, il serait possible que le bio aille de pair avec un style de vie, une communauté, que manger bio donne «un genre». Peut être que des gens aillant une toute autre culture ou un autre fond social se sentirait gêné ou repousserait le bio pour une raison plus personnelle...


Jeanne

[GhiaS1]

Bonjour,
Je suis d'accord avec Jeanne. Je ne comprend pas comment le rendement de ce type d'agriculture peut être le même que l'agriculture conventionnel si les plantes poussent moins rapidement (dû à l'absence d'engrais) et plusieurs plantes sont perdues (dû au ravage des insectes). Il y a donc nécessairement un rendement quantitatif de l'agriculture biologique qui est plus faible. En effet, d'après Le Devoir, l'agriculture biologique produit des récoltes de céréales 26% moins abondantes et des récoltes de légumes 33% moins abondantes que les récoltes avec la méthode traditionnelle.
De plus, à cause de ce rendement plus faible, il faudrait plus de terres pour une même production agricole. Sachant que la population est de plus en plus grande, il faudra déforester encore plus de zones et détruisent plus de la biodiversité. On pourrait donc dire que l'agriculture biologique n'est pas vraiment une solution puisque celle-ci va empirer la situation.
Vous-en pensez quoi?

Bonjour Ghia,

Bien que je pense effectivement que le rendement de l'agriculture biologique est inférieur à celui de l'agriculture conventionnelle, je ne pense absolument pas qu'elle ne serait pas une solution, ni qu'elle empirera la situation.

Oui, l'agriculture biologique inclus des pertes, mais elle va de pair avec agriculture locale. Or, si l'agriculture est locale il y a moins d'importations/exportations (donc moins de pollution) et elle vise surtout une plus petite population. En effet, il n'y aurait plus d'énormes champs à agricultures conventionnelle qui produit pour le monde entier et qui, eux, sont responsables d'une grande déforestation.

Un autre point, l'agriculture conventionnelle tue, notamment par ses pesticides, la flore environnante et, à force d'agriculture intensive, rend les sols inexploitables et stériles. Il y a donc une perte de terres. À l'opposé, l'agriculture biologique favorise le sol, le rend encore plus fertile, et avec le temps, le rendement en est même augmenté. Ainsi, l'agriculture biologique est de ce point de vue bien plus favorable à l'environnement. Et même si on en venait à devoir couper un peu plus d'arbres, elles, au moins ne détruirait pas les sols qu'elle nécessite.

J'espère avoir pu apporté des explications : )

Jeanne

Bonjour Jeanne,
Je suis d'accord, l'agriculture bio ne détruirait pas les sols mais elle détruirait l'atmosphère. En coupant "un peu plus d'arbres", elle cause le rejet du co2 stocké dans ces arbres et empêche un stockage futur. Mon point de vue est expliqué plus en détails dans le site suivant: http://www.lefigaro.fr/sciences/2019/01/04/01008-20190104ARTFIG00088-manger-bio-est-il-dangereux-pour-la-planete.php

[GhiaS1]

Bonjour Swane et Nolwenn,

J'ai beaucoup aimé votre article qui est concis mais aussi très clair. Je trouve en effet que l'agriculture biologique est la meilleure pour notre planète. Ne pensez vous cependant pas que celle-ci impose quand même une perte de produits conséquente et que donc les prix resteront trop élevés pour une partie de la population (car le prix des aliments biologiques est bien le frein majeurs pour les consommateurs)? Vous parlez en effet du même rendement entre les deux agricultures mais comment expliquez vous alors les prix élevés du Bio?
Je pense aussi qu'un autre problème serait le visuel des aliments. les personnes sont habituées à manger des aliments parfaits et refusent de manger des fruit un peu abîmés, des confitures moisies sur le dessus etc... Il faudrait donc lancer un processus d'éducation en parallèle selon moi.

Merci d'avance pour votre réponse!

Jeanne S1

Bonjour,
Je suis d'accord avec Jeanne. Je ne comprend pas comment le rendement de ce type d'agriculture peut être le même que l'agriculture conventionnel si les plantes poussent moins rapidement (dû à l'absence d'engrais) et plusieurs plantes sont perdues (dû au ravage des insectes). Il y a donc nécessairement un rendement quantitatif de l'agriculture biologique qui est plus faible. En effet, d'après Le Devoir, l'agriculture biologique produit des récoltes de céréales 26% moins abondantes et des récoltes de légumes 33% moins abondantes que les récoltes avec la méthode traditionnelle.
De plus, à cause de ce rendement plus faible, il faudrait plus de terres pour une même production agricole. Sachant que la population est de plus en plus grande, il faudra déforester encore plus de zones et détruisent plus de la biodiversité. On pourrait donc dire que l'agriculture biologique n'est pas vraiment une solution puisque celle-ci va empirer la situation.
Vous-en pensez quoi?

Bonjour Ghia,
En effet, au sujet du rendement, pendant de longues années, l’écart entre la culture biologique et conventionnelle était présent. Toutefois, les avancées technologiques ainsi que les nouvelles techniques d’agriculture biologique tendent à réduire cet écart de rendement. De plus, il faut être vigilant lorsque l’on parle d’écart de rendement et bien préciser d’en quel produit il s’agit. En fait, pour les céréales ou l’orticulture, il n’y a aucun écart en tren le biologique et le conventionnel.
Ensuite, concernant la déforestation, ce n’est pas l’air culture biologique qui en est responsable. Au contraire, de nombreux organismes sensibles à l’état de la planette donc  aussi à l’agriculture biologique ont décider de soulager la pression mise  sur les forêts et cultivent des produits biologiques en périphérie de celles-ci. Par exemple, la production de cacao biologique en Côte-d’Ivoire, ils le plantent aux périphéries des forêts.
Merci pour ton commentaire,
Nolwenn S2

Bonjour,
Je comprends que l'agriculture en périphérie des forêts existe. Mais je ne pense pas que ceci sera possible si le mode devait entièrement vivre de l'agriculture biologique. Il n'y aura pas assez de terres et donc il faudra forcément couper des arbres.

[Nolwenn B S2]

Bonjour Swane et Nolwenn,

J'ai beaucoup aimé votre article qui est concis mais aussi très clair. Je trouve en effet que l'agriculture biologique est la meilleure pour notre planète. Ne pensez vous cependant pas que celle-ci impose quand même une perte de produits conséquente et que donc les prix resteront trop élevés pour une partie de la population (car le prix des aliments biologiques est bien le frein majeurs pour les consommateurs)? Vous parlez en effet du même rendement entre les deux agricultures mais comment expliquez vous alors les prix élevés du Bio?
Je pense aussi qu'un autre problème serait le visuel des aliments. les personnes sont habituées à manger des aliments parfaits et refusent de manger des fruit un peu abîmés, des confitures moisies sur le dessus etc... Il faudrait donc lancer un processus d'éducation en parallèle selon moi.

Merci d'avance pour votre réponse!

Jeanne S1

Bonjour,
Je suis d'accord avec Jeanne. Je ne comprend pas comment le rendement de ce type d'agriculture peut être le même que l'agriculture conventionnel si les plantes poussent moins rapidement (dû à l'absence d'engrais) et plusieurs plantes sont perdues (dû au ravage des insectes). Il y a donc nécessairement un rendement quantitatif de l'agriculture biologique qui est plus faible. En effet, d'après Le Devoir, l'agriculture biologique produit des récoltes de céréales 26% moins abondantes et des récoltes de légumes 33% moins abondantes que les récoltes avec la méthode traditionnelle.
De plus, à cause de ce rendement plus faible, il faudrait plus de terres pour une même production agricole. Sachant que la population est de plus en plus grande, il faudra déforester encore plus de zones et détruisent plus de la biodiversité. On pourrait donc dire que l'agriculture biologique n'est pas vraiment une solution puisque celle-ci va empirer la situation.
Vous-en pensez quoi?

Bonjour Ghia,
En effet, au sujet du rendement, pendant de longues années, l’écart entre la culture biologique et conventionnelle était présent. Toutefois, les avancées technologiques ainsi que les nouvelles techniques d’agriculture biologique tendent à réduire cet écart de rendement. De plus, il faut être vigilant lorsque l’on parle d’écart de rendement et bien préciser d’en quel produit il s’agit. En fait, pour les céréales ou l’orticulture, il n’y a aucun écart en tren le biologique et le conventionnel.
Ensuite, concernant la déforestation, ce n’est pas l’air culture biologique qui en est responsable. Au contraire, de nombreux organismes sensibles à l’état de la planette donc  aussi à l’agriculture biologique ont décider de soulager la pression mise  sur les forêts et cultivent des produits biologiques en périphérie de celles-ci. Par exemple, la production de cacao biologique en Côte-d’Ivoire, ils le plantent aux périphéries des forêts.
Merci pour ton commentaire,
Nolwenn S2

Bonjour,
Je comprends que l'agriculture en périphérie des forêts existe. Mais je ne pense pas que ceci sera possible si le mode devait entièrement vivre de l'agriculture biologique. Il n'y aura pas assez de terres et donc il faudra forcément couper des arbres.

Bonsoir,
En effet, si on considère simplement le point de vue du rendement à l'heure actuelle, on peut être soucieux de la déforestation. Mais n'oublies pas, comme je t'ai répondu précédemment, que les scientifiques oeuvrent pour développer des nouvelles techniques et technologies de culture qui permettront à l'agriculture biologique de subvenir aux besoin des personnes.

[Gabrielle1S1]

Bonjour Swane et Nolwenn,
Merci pour votre article très pertinent qui traite un sujet d'actualité: la malnutrition et les solutions afin de la vaincre.
Vous proposez quatre solutions afin de vaincre la malnutrition, soit améliorer le rendement agricole, optimiser l’eau, les nutriments et produits chimiques, privilégier les humains, et réduire le gaspillage.
Par contre, plus haut dans votre article, vous prônez l'agriculture biologique, un système qui réduit l'utilisation d'intrants et de pesticides. L'agriculture classique, quant à elle, permet de produire davantage puisque les pesticides comme les insecticides permettent de détruire des insectes ravageurs.
Ne pensez vous pas qu'afin de réellement produire suffisamment de nourriture, il faudrait mettre les quatre solutions en action en plus de maintenir une agriculture classique?
Merci beaucoup,
Gabrielle Osana

[Nolwenn B S2]

Bonjour Swane et Nolwenn,
Merci pour votre article très pertinent qui traite un sujet d'actualité: la malnutrition et les solutions afin de la vaincre.
Vous proposez quatre solutions afin de vaincre la malnutrition, soit améliorer le rendement agricole, optimiser l’eau, les nutriments et produits chimiques, privilégier les humains, et réduire le gaspillage.
Par contre, plus haut dans votre article, vous prônez l'agriculture biologique, un système qui réduit l'utilisation d'intrants et de pesticides. L'agriculture classique, quant à elle, permet de produire davantage puisque les pesticides comme les insecticides permettent de détruire des insectes ravageurs.
Ne pensez vous pas qu'afin de réellement produire suffisamment de nourriture, il faudrait mettre les quatre solutions en action en plus de maintenir une agriculture classique?
Merci beaucoup,
Gabrielle Osana

Bonjour Gabrielle,
Malheureusement, à l'heure actuelle, on ne peut plus se poser la question de produire du biologique ou pas. Ça va au-delà de juste produire des bons produits pour la santé : c'est aussi préserver l'environnement. Produire avec de l'agriculture classique semble inconscient aujourd'hui car ça nuirait à notre planète.
Merci de ton intervention!
Nolwenn B S2

[Jeanne S1]

Bonjour Jeanne,
Je suis d'accord, l'agriculture bio ne détruirait pas les sols mais elle détruirait l'atmosphère. En coupant "un peu plus d'arbres", elle cause le rejet du co2 stocké dans ces arbres et empêche un stockage futur. Mon point de vue est expliqué plus en détails dans le site suivant: http://www.lefigaro.fr/sciences/2019/01/04/01008-20190104ARTFIG00088-manger-bio-est-il-dangereux-pour-la-planete.php

Bonjour Ghia,

Je ne comprend pas bien ce que tu veux dire puisque les arbres ne stockent pas de CO2, ils l'utilisent pour le transformer en énergie (donc couper un arbre ne provoque le rejet d'aucun gaz à effet de serre. De plus, dans l'article, il est question de rejet de CO2, mais cela est dût à la respiration et tout les êtres vivant respire, on ne peut donc le reprocher aux plantes de l'agriculture biologique (surtout que cela est contre balancé par la photosynthèse). Et comme je le rappelais précédemment, ce rejet de CO2 légèrement supérieur est largement compensé par la suppression des engins qui libèrent les pesticides, tout les transports et la fabrication que nécessitent ceux-ci. Les pesticides polluent aussi l’atmosphère en plus des sols et de l'eau: http://www.natura-sciences.com/sante/pesticides-definition.html

L'agriculture peut présenter certains désavantages mais c'est certainement une amélioration par rapport à la traditionnelle.

[GhiaS1]

Bonjour Jeanne,
Je suis d'accord, l'agriculture bio ne détruirait pas les sols mais elle détruirait l'atmosphère. En coupant "un peu plus d'arbres", elle cause le rejet du co2 stocké dans ces arbres et empêche un stockage futur. Mon point de vue est expliqué plus en détails dans le site suivant: http://www.lefigaro.fr/sciences/2019/01/04/01008-20190104ARTFIG00088-manger-bio-est-il-dangereux-pour-la-planete.php

Bonjour Ghia,

Je ne comprend pas bien ce que tu veux dire puisque les arbres ne stockent pas de CO2, ils l'utilisent pour le transformer en énergie (donc couper un arbre ne provoque le rejet d'aucun gaz à effet de serre. De plus, dans l'article, il est question de rejet de CO2, mais cela est dût à la respiration et tout les êtres vivant respire, on ne peut donc le reprocher aux plantes de l'agriculture biologique (surtout que cela est contre balancé par la photosynthèse). Et comme je le rappelais précédemment, ce rejet de CO2 légèrement supérieur est largement compensé par la suppression des engins qui libèrent les pesticides, tout les transports et la fabrication que nécessitent ceux-ci. Les pesticides polluent aussi l’atmosphère en plus des sols et de l'eau: http://www.natura-sciences.com/sante/pesticides-definition.html

L'agriculture peut présenter certains désavantages mais c'est certainement une amélioration par rapport à la traditionnelle.

Bonjour Jeanne,
À la fin je suis d'accord avec toi, même si l'agriculture bio a plusieurs désavantages, les pesticides doivent être interdits puisqu'ils détruisent la biodiversité et polluent.

Merci pour le débat enrichissant.

[Gabrielle1S1]

Bonjour Swane et Nolwenn,
Merci pour votre article très pertinent qui traite un sujet d'actualité: la malnutrition et les solutions afin de la vaincre.
Vous proposez quatre solutions afin de vaincre la malnutrition, soit améliorer le rendement agricole, optimiser l’eau, les nutriments et produits chimiques, privilégier les humains, et réduire le gaspillage.
Par contre, plus haut dans votre article, vous prônez l'agriculture biologique, un système qui réduit l'utilisation d'intrants et de pesticides. L'agriculture classique, quant à elle, permet de produire davantage puisque les pesticides comme les insecticides permettent de détruire des insectes ravageurs.
Ne pensez vous pas qu'afin de réellement produire suffisamment de nourriture, il faudrait mettre les quatre solutions en action en plus de maintenir une agriculture classique?
Merci beaucoup,
Gabrielle Osana

Bonjour Gabrielle,
Malheureusement, à l'heure actuelle, on ne peut plus se poser la question de produire du biologique ou pas. Ça va au-delà de juste produire des bons produits pour la santé : c'est aussi préserver l'environnement. Produire avec de l'agriculture classique semble inconscient aujourd'hui car ça nuirait à notre planète.
Merci de ton intervention!
Nolwenn B S2

Bonsoir Nolwenn,

Je suis absolument d'accord avec toi sur le fait qu'il faut préserver l'environnement. C'est pourquoi il existe des solutions qui devraient être appliquées beaucoup plus qu'elles ne le sont aujourd'hui, que ce soient des actions toutes simples comme recycler le papier, jeter des emballages à la poubelle ou réduire la longueur des douches, ou des actions sur une plus grande échelle comme limiter les émissions dans les usines de grandes entreprises.

Par contre, il faut selon moi prendre en compte le fait que l'agriculture biologique produit clairement moins d'aliments sur un même montant de terre que le pourrait l'agriculture classique ou même l'agriculture OGM.

Beaucoup pensent que l'impact environnemental de l'agriculture OGM est très élevé. C'est vrai qu'il est plus élevé que l'agriculture biologique, mais il ne l'est pas autant que beaucoup le pensent. En effet, comme je l'ai mentionné dans mon article, il est possible grâce aux OGM d'immuniser des plantes à un herbicide moins toxique, le Roundup, ce qui permet de produire beaucoup plus sans pour autant détruire l'environnement. Selon moi, produire davantage est très important car cela permet de privilégier la vie humaine et réduire la faim dans le monde, ce qui est également un grand problème ces jours-ci, en plus de l'état de l'environnement. Il faut donc clairement un équilibre entre ces deux problèmes.

C'est pourquoi je proposerais d'établir un juste milieu entre les deux types d'agriculture... Nous pourrions bénéficier d'une grande production de produits alimentaires grâce aux OGM (qui n'ont même pas nécessairement un grand impact écologique comme je l'ai dit plus haut), et de bénéficier d'une agriculture pure et saine envers l'environnement grâce à l'agriculture biologique. Comme cela, nous aurions une grande production pour satisfaire à la population affamée et toujours grandissante, mais aussi une protection de la nature. Certes, ce n'est peut être pas optimal pour l'environnement, mais selon moi c'est mieux que de délaisser la famine dans le monde.

Qu'en penses-tu?
Passe une bonne fin de soirée,
Gabrielle Osana 1S1

[Auriane Thilloy S2]

Bonjour Swane et Nolwenn,
Pensez-vous sincèrement que l'agriculture biologique a un meilleur rendement que l'agriculture intensive ? Dans ce cas-ci, ce serait contradictoire avec le fait que l'agriculture intensive existe.
Si l'agriculture intensive est un jour exclue, nous ferons place à l'agriculture biologique. Mais, cette agriculture biologique serait-elle suffisante pour alimenter l'entièreté de la Terre aujourd'hui, ainsi que sa population croissante ?

J'aimerais savoir ce que tu en penses.

Passe une bonne journée,
Cordialement,
Auriane.

[Swane L S2]

Bonjour Swane et Nolwenn,
Merci pour votre article très pertinent qui traite un sujet d'actualité: la malnutrition et les solutions afin de la vaincre.
Vous proposez quatre solutions afin de vaincre la malnutrition, soit améliorer le rendement agricole, optimiser l’eau, les nutriments et produits chimiques, privilégier les humains, et réduire le gaspillage.
Par contre, plus haut dans votre article, vous prônez l'agriculture biologique, un système qui réduit l'utilisation d'intrants et de pesticides. L'agriculture classique, quant à elle, permet de produire davantage puisque les pesticides comme les insecticides permettent de détruire des insectes ravageurs.
Ne pensez vous pas qu'afin de réellement produire suffisamment de nourriture, il faudrait mettre les quatre solutions en action en plus de maintenir une agriculture classique?
Merci beaucoup,
Gabrielle Osana

Bonjour Gabrielle,
Nous sommes heureuses que tu as aimé notre article.
Tu as tout a fait raison au sujet du "mélange" des 4 solutions: mais je pense qu'une agriculture classique doit utiliser des pesticides/herbicides... pour maintenir son nom en tant que "classique". Ce type d'agriculture a toujours fonctionné comme cela et c'est pour ça que maintenant nous sommes arrivé au réchauffement climatique. Mais je m'éloigne un peu de la question donc pour te répondre je pense que si les 4 solutions sont misent en commun nous devons appeler ce type d'agriculture : biologique. J'espère avoir répondue à ta question!
Merci 
Swane Lebrun

[Swane L S2]

Bonjour Swane et Nolwenn,
Merci pour votre article très pertinent qui traite un sujet d'actualité: la malnutrition et les solutions afin de la vaincre.
Vous proposez quatre solutions afin de vaincre la malnutrition, soit améliorer le rendement agricole, optimiser l’eau, les nutriments et produits chimiques, privilégier les humains, et réduire le gaspillage.
Par contre, plus haut dans votre article, vous prônez l'agriculture biologique, un système qui réduit l'utilisation d'intrants et de pesticides. L'agriculture classique, quant à elle, permet de produire davantage puisque les pesticides comme les insecticides permettent de détruire des insectes ravageurs.
Ne pensez vous pas qu'afin de réellement produire suffisamment de nourriture, il faudrait mettre les quatre solutions en action en plus de maintenir une agriculture classique?
Merci beaucoup,
Gabrielle Osana

Bonjour Gabrielle,
Malheureusement, à l'heure actuelle, on ne peut plus se poser la question de produire du biologique ou pas. Ça va au-delà de juste produire des bons produits pour la santé : c'est aussi préserver l'environnement. Produire avec de l'agriculture classique semble inconscient aujourd'hui car ça nuirait à notre planète.
Merci de ton intervention!
Nolwenn B S2

Bonsoir Nolwenn,

Je suis absolument d'accord avec toi sur le fait qu'il faut préserver l'environnement. C'est pourquoi il existe des solutions qui devraient être appliquées beaucoup plus qu'elles ne le sont aujourd'hui, que ce soient des actions toutes simples comme recycler le papier, jeter des emballages à la poubelle ou réduire la longueur des douches, ou des actions sur une plus grande échelle comme limiter les émissions dans les usines de grandes entreprises.

Par contre, il faut selon moi prendre en compte le fait que l'agriculture biologique produit clairement moins d'aliments sur un même montant de terre que le pourrait l'agriculture classique ou même l'agriculture OGM.

Beaucoup pensent que l'impact environnemental de l'agriculture OGM est très élevé. C'est vrai qu'il est plus élevé que l'agriculture biologique, mais il ne l'est pas autant que beaucoup le pensent. En effet, comme je l'ai mentionné dans mon article, il est possible grâce aux OGM d'immuniser des plantes à un herbicide moins toxique, le Roundup, ce qui permet de produire beaucoup plus sans pour autant détruire l'environnement. Selon moi, produire davantage est très important car cela permet de privilégier la vie humaine et réduire la faim dans le monde, ce qui est également un grand problème ces jours-ci, en plus de l'état de l'environnement. Il faut donc clairement un équilibre entre ces deux problèmes.

C'est pourquoi je proposerais d'établir un juste milieu entre les deux types d'agriculture... Nous pourrions bénéficier d'une grande production de produits alimentaires grâce aux OGM (qui n'ont même pas nécessairement un grand impact écologique comme je l'ai dit plus haut), et de bénéficier d'une agriculture pure et saine envers l'environnement grâce à l'agriculture biologique. Comme cela, nous aurions une grande production pour satisfaire à la population affamée et toujours grandissante, mais aussi une protection de la nature. Certes, ce n'est peut être pas optimal pour l'environnement, mais selon moi c'est mieux que de délaisser la famine dans le monde.

Qu'en penses-tu?
Passe une bonne fin de soirée,
Gabrielle Osana 1S1

Bonsoir Gabrielle,
En effet tu as tout a fait raison au sujet du gaspillage de papier, de préserver l'eau,... Malheureusement je vois que tu l'as bien compris que l'agriculture biologique fournit moins de nourriture et est plus chère mais meilleure pour la santé. Les OGMs, comme tu le dis très bien, pourront et sont des alternatives aux herbicides et pesticides et en plus aucunes personnes n'a été victimes de maladies à cause des OGMs. Je pense aussi que tout le monde rêve d'un juste milieu entre ces deux types d'agriculture y compris nous. Mais la même question revient sans cesse comment gérer la famine tout en restant écologique? 
J'espère avoir répondue à tes attentes,
Merci 
Swane 1S2

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